
L’idée de cette adaptation m’était venue une première fois en 1998 lors de la coupe du monde de football, en voyant la majorité des joueurs garder la bouche et le visage résolument fermés au moment de chanter l’hymne national.On les comprend.Les paroles sont vraiment anachroniques.Je pensais à ce grand rassemblement, à cette forme-là de la mondialisation, au pouvoir du collectif.Une impression de dépassement des divisions raciales, sociales, politiques, nationales.Idée que “le tout est plus que la somme des parties”. Pourtant,...
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